Super, Lui revient

Lui

Avant même de le lire, on se réjouit de voir ressortir Lui. Enfin c’est surtout sympa pour les quadras et les quinquas qui ont connu la grande époque du magazine de l’homme moderne. Belle couv, dos carré collé, c’est tout bon, on peut se plonger dans sa lecture. En ce qui me concerne, ce sera mon programme pour voler jusqu’en Italie. Juste le temps de le lire.  J’ai quand même déjà parcouru le bon édito de Frédéric Beigbeder ; il oublie juste de dire que Lui sera aussi le magazine des femmes modernes.

ePresse : le bar à presse

epresse

Ceux qui achètent occasionnellement le Monde sur internet auront été supris de le voir augmenter de près d’un euro du jour au lendemain en début d’année. Nous sommes (tous) disposés à payer nos journaux mais un peu d’information sur une telle augmentation ne peut pas nuire. Cette mauvaise surprise est l’occasion de chercher s’il existe une offre souple, intéressante, diversifiée en matière de presse on line. Et on tombe sur la nouvelle version de ePresse. Le site propose presque tous les quotidiens (non, pas le Monde !), presque tous les grands hebdomadaires (non, pas le ELLE !), et les mensuels, et les journaux de sport, et les magazines people…bref, de quoi nous contenter. Quant aux packages, plutôt bien conçus, ils permettent au lecteur de changer chaque jour de support s’il en a envie. Comme une forme d’abonnement à la carte.

Alors, on encourage : epresse

 

Life is good

Pourquoi The Good Life se définit-il comme le premier magazine masculin hybride ? On ne comprend pas. Ou alors, Partisane a des goûts de garçon.

Voilà quelques mois que Laurent Blanc, déjà à la tête de l’excellent Ideat, a lancé le trimestriel The Good Life. Plus qu’un news, c’est une revue imposante pour ceux qui aiment lire ; car du texte, il y en a. Mais il en faut pour essayer de comprendre le monde et ses évolutions. Parce qu’ici, il n’est pas question que de la France, que de Paris. The Good Life est global. Donc, si vous voulez tout savoir de Shanghai ou de New York, découvrir les enjeux de la smart city à Rio mais aussi connaître les good trends, les good exhibitions, bref les good tout… précipitez-vous au kiosque (heu… un bon de préférence). Ou mieux encore, abonnez-vous.

J’oubliais, quel beau logo ! On a l’impression de plonger instantanément dans l’univers de Mad men. Cette fois j’ai compris, c’est ça l’univers de garçons !